DIRECT – Equipe de France: suivez la conférence de presse de Rabiot et Deschamps avant la Grèce

Merci à tous de l’avoir suivie.

“Le match aller avait été difficile. Il y a de la qualité dans cette équipe. Sur le plan offensif, il y a une bonne agressivité. On avait gagné que 1-0. Le public grec va être à fond derrière. Ils préparent le mois de mars, pour eux c’est un match important, je sais qu’ils vont pas nous regarder jouer. Il va y avoir un match de haut niveau.”

“Oui, c’est prévu de faire des changements dans le onze. Et en cours de match aussi (sourire). Mbappé capitaine ? Oui, c’est prévu.”

“J’aime bien les jeunes, si je le trouve meilleur que le joueur plus âgé, je vais faire jouer le jeune.”

“Quand on respecte l’adversaire, on va jusqu’au bout et on met les buts quand on a les occasions. Le haut niveau, c’est ça. Après, on peut aussi gérer par moments pendant le match. Demain, l’enjeu pour la Grèce est de préparer le barrage. Mais ça reste un match international, on sera jugés sur ce qu’on fera.”

“Oui, même si c’est 30 secondes, je vais lui faire continuer sa série”

“Qu’il puisse marquer plus de buts, tant mieux pour lui, il sait très bien que ça n’a pas toujours été le cas. C’est mieux pour lui pour sa confiance, pour le libérer encore plus. Il a le potentiel pour être titulaire, comme d’autres joueurs aussi.”

“Heureusement qu’il n’y a pas de superstition, sinon on ne partait pas au Qatar. On a eu le bon exemple en étant champion du monde en titre. La superstition… On ne va pas jouer là-dessus. On joue le match pour le gagner.”

“Brice a eu, comme son club, un début de saison un peu plus difficile. Mais c’est un compétiteur, ils ont redressé la situation avec le RC Lens. Alphonse fait de bonnes choses, cette année il joue les matchs de Premier League, il gagne en sérénité et fait de bonnes performances. La hiérarchie, c’est bien qu’elle soit définie. Mais ça peut évoluer au mois de mars ou juin. La concurrence existe, si je pense que c’est mieux de faire différemment…”

“Brice Samba sera gardien de but. Pour le reste, vous verrez demain.”

“Il va bien, il est souriant. Moins bien sur le terrain ? Il peut faire mieux. Bien sûr que je lui parle à Kolo, du moment qu’il garde cette tranquillité. Les qualités, il les a. C’est encore un jeune joueur, qui a des étapes à franchir. Mais il a toujours sa sérénité.”

“J’ai huit joueurs qui jouent vendredi soir… Donc si je tiens compte de tous les éléments, je vais faire jouer le staff technique demain. On peut être très bien, pas fatigué et au final avoir un pépin. Ça fait beaucoup d’éléments, j’en tiens compte au maximum, je vais aussi répartir les temps avec les cinq changements.”

“Ce n’est pas le Grand chelem du rugby là… On va jouer pour gagner, mais ça ne va pas nous donner de garanties particulières. Trouver des leviers c’est important, mais est-ce que ça en est un… On veut rester sur un sans-faute.”

Deschamps: “Il peut jouer aux deux postes. Quand je l’ai mis dans la liste, il était avant tout au poste d’arrière gauche. Vous verrez demain.”

C’est parti pour la session de questions-réponses avec le sélectionneur.

Didier Deschamps doit maintenant lui succéder face aux médias.

“Je ne sais pas ce qu’il va se passer pour lui. On discute, on s’est vu avant la sélection, on a dîné ensemble. Vous connaissez Paul, il est toujours très souriant, très avenant. Bien sûr que je pense que la situation lui pèse. J’espère qu’il aura la sanction la moins difficile. Abattus, je pense qu’on l’est tous. C’est un super joueur, un super homme. Affronter tout ce qu’il a dû affronter, ça fait beaucoup pour une seule personne.”

“Je suis quelqu’un de très ouvert en dehors des médias, de la TV et de tout ce qui relève des réseaux sociaux. Tout ce qui est extérieur, je préfère me réserver.”

“Je pense qu’on peut tous être leaders à notre manière. Plus un leader de terrain, de vestiaire, dans l’intimité du vestiaire. Discuter avec chacun, donner des conseils… C’est plus ma personnalité. Je pense qu’on a besoin de toutes ces personnalités différentes dans le groupe. C’est ce qui fait la beauté de cette équipe.”

“Quelque chose que j’apprécie ? Je n’irai pas jusqu’ici. C’est quelque chose qui a été établi. Les joueurs envoyés, on le fait avec sérieux et professionnalisme. C’est une certaine marque de confiance aussi.”

“J’ai souvent dit que j’avais un rôle différent en Bleu qu’à la Juve. Mon rôle en équipe de France est d’équilibrer cette équipe.”

“C’est toujours compliqué car c’est une période où on joue beaucoup. Au mois de novembre, il y a souvent beaucoup de blessures. Le meilleur moyen d’éviter de se blesser, c’est de prendre le match à fond, ne pas être sur la retenue.”

“La motivation, je l’ai à chaque fois que je rentre sur un terrain. On a des défis, des challenges qu’on se fixe, comme finir ces qualifs avec le maximum de points. Si on gagne et qu’on fait mieux que l’Argentine face au Brésil, on finira l’année premier au classement FIFA.”

Rabiot: “Meilleurs, je ne sais pas. Mais on est dans une continuité dans ce qu’on a fait de bien. On est sérieux, déterminés à chaque match. Ce qu’on fait en ce moment, on le fait bien. Ça montre que le groupe est sur une bonne lancée.”

Adrien Rabiot est arrivé devant les journalistes.

Attendus à partir de 17h, Adrien Rabiot et Didier Deschamps ne sont pas encore arrivés en salle de presse.

Selon la fédération hellénique de football, 27.000 spectateurs sont attendus ce mardi soir. Il reste encore environ 4.000 places à la vente. 

A.P, à Athènes

La pelouse de l’OPAP Arena, stade habituel de l’AEK Athènes, est très marquée avant la rencontre de ce mardi soir entre la Grèce et la France. Ciel dégagé et 16 degrés annoncés pour le coup d’envoi.

A.P, à Athènes

L’avion de l’équipe de France a atterri à Athènes ce lundi à 13h15 locales, à la veille du match contre la Grèce, mardi (20h45, qualifs Euro 2024). Didier Deschamps et Adrien Rabiot répondront aux questions des médias en conférence de presse à 18 heures, heure locale. (F.Hawkins)

Daniel Riolo dans l’After sur RMC : “Des scores comme ça, on n’en voit jamais. Je suis sidéré par ce qu’on a vu. Quatorze buts, c’est un truc de malade, un truc d’avant-guerre. C’est un truc de fou, sept buts, plus sept buts. Plein de fois ce genre de match se termine avec une dernière demi-heure d’ennui absolu. On a une équipe qui, du début à la fin, a voulu jouer. Et péter les records.”

>> Retrouvez Daniel Riolo et tous les podcasts de l’After par ici

Bienvenue sur RMC Sport pour suivre en direct toutes les infos sur les Bleus avant le dernier match de qualifications pour l’Euro 2024 Grèce-France, mardi soir à Athènes (20h45). Déjà qualifiés, les joueurs de Didier Deschamps restent sur une victoire historique, la plus large de l’histoire de l’équipe de France, face à Gibraltar, 14-0, samedi à Nice.